Grâce à un partenariat établi avec le ministère de l'Éducation et de l'enseignement Supérieur ainsi qu'avec la Chaire de tourisme Transat de l'ESG UQAM, Cheval Québec prendra part à une étude des clientèles, lieux de pratique et des retombées économiques et sociales des activités physiques du plein air.

Quelques études sectorielles d'impacts sociaux et économiques ou des portraits de clientèles ont été réalisés dans les dernières années, mais aucune étude ne dresse un portrait complet des retombées des activités de plein air au Québec. Dans cette optique, des organismes du milieu souhaitent mettre à jour les données et approfondir la connaissance du potentiel et des enjeux en vue d'identifier des mesures qui permettraient la consolidation de l'offre d'activités de plein air au Québec.


Les principaux objectifs de l'étude sont les suivants :
1. Recenser et organiser l'information disponible sur les lieux de pratiques et les aménagements associés aux activités de plein air au Québec.
2. Établir des profils de clientèles pour les activités visées par l'étude, dans un contexte d'une participation active du plein air.
3. Évaluer les retombées économiques et sociales des activités physiques de plein air.
Cette étude apportera un nouvel éclairage des retombées de ce secteur afin de mettre en valeur sa contribution à la richesse et au bien-être collectif.
Pour le besoin de l'exercice, deux catégories d'activités qui feront partie de l'étude ont été établies. Les activités de premier niveau sont celles étant directement associées à l'un des partenaires de l'étude et qui, en plus de figurer dans le calcul des retombées économiques, feront également l'objet d'un portrait de clientèle spécifique. L'équitation de randonnée fait partie de cette catégorie.


L'étude se composera de trois volets distincts :
1. Inventaire des principaux lieux de pratique
2. Un portrait de la pratique et des clientèles
3. Une évaluation des retombées sociales et des retombées économiques

Le rapport final sera dévoilé à la fin du mois de juin 2017.

 

Source : Laure Chazerand, coordonnatrice des communications, Cheval Québec